Quelles sont les différentes techniques d’impression 3D ?

techniques d’impression 3D

Le choix des démarches marketing permet de déterminer et d’influencer l’avenir ainsi que le bon développement d’une entreprise. Ce procédé leur offre l’opportunité d’élargir leurs clientèles, mais aussi d’augmenter leurs ventes, leurs bénéfices. Ce principe reste en perpétuelle évolution. En effet, face aux changements des comportements des consommateurs ainsi qu’aux différentes avancées technologiques, les sociétés doivent adapter leur stratégie marketing pour atteindre les objectifs. Que cela soit dans le secteur de l’e-mailing, des enseignes publicitaires et même dans le domaine de la numérique. Ce dernier est très réputé depuis quelques années avec l’entrée en jeu de l’impression 3D. C’est un art qui permet de créer des objets solides en trois dimensions. Les spécialistes ont mis au point quelques techniques pour la réalisation. Comme : la méthode de la photopolymérisation de la résine (SLA, DLP), le dépôt de fils ou extrusion, le frittage de poudre et fusion, et pour finir, la pulvérisation de matière.

La technique d’impression 3D par la technique de Stéréolithographie (SLA et  DLP)

La stéréolithographie fait partie des premières méthodes de l’impression en trois dimensions. Aussi connu sous le nom diminutif de SLA, ou plus précisément « stereolithograph apparatus », cette technique utilise le principe de la photopolymérisation. Cela consiste à matérialiser un coulant photosensible sous l’action de la lumière. À l’aide d’une cuve remplie de résine spéciale, un faisceau laser va solidifier couche par couche le liquide sous son passage. Bien sûr, en suivant les commandes enregistrées au préalable dans l’ordinateur. Cela afin d’obtenir la forme précise de votre choix. Les objets fabriqués de cette manière ont généralement de très bonnes qualités avec des détails bien définis. Toutefois, ils représentent quelques inconvénients. Effectivement, avec l’utilisation des polymères comme matières de base, votre panel de couleur devient limité. C’est également nécessaire de bien aérer votre pièce vu que pendant l’impression, la résine peut libérer des vapeurs toxiques. Sur le site https://creadil.com/ connaissez les conseils des spécialistes afin de mener à bien votre projet.

La Stéréolithographie reste la stratégie la plus connue et la plus appréciée du moment. Cependant, grâce à la technologie moderne, plusieurs spécialistes ont donné naissance à d’autres techniques à partir de ce concept. Parmi les plus récentes par exemple, notons le procédé DLP. Cette fois, il s’utilise à travers un vidéoprojecteur au lieu d’un laser dans le but de couvrir un espace beaucoup plus large. La vitesse d’impression devient accrue. Certains experts mettent également en place la méthode appelée « MovingLight ». Ici, l’objectif, c’est d’accélérer rapidement la production de pièces. L’écran LCD fait aussi partie des nouvelles évolutions de l’impression 3D. C’est comme une source de lumière UV.

L’impression 3D par dépôt de filament fondu

Connu sous le nom de FDM ou FFM, aussi appelé extrusion, ce technique utilise des filaments plastiques comme matière de base. La procédure consiste à faire fondre le consommable avec une température à plus de 200 degrés. En formant des couches superposées, cela permet de donner forme à l’objet dont vous souhaitez obtenir. Autrefois, son utilisation se limitait juste à la matière plastique telle que le PLA, ce qui n’est plus le cas de nos jours. Désormais, vous pouvez opter pour de nouveaux composites filaments à base de cuivre, de bronze, etc. Il existe même certaines machines qui utilisent de la cire, du bois, et même la fibre de carbone. À part le fait que l’utilisation de cette technique permet l’utilisation d’une large variété de couleur et de matière, elle est aussi accessible et abordable pour tout le monde.

La technique de pulvérisation des matières ou par la  procédé polyjet

Dans ce genre de pratique, l’impression de l’objet en trois dimensions se fait par la projection des jets de matériaux directement sur le support d’impression. Bien sûr, en tenant compte des codes informatiques ajoutés au préalable par un logiciel d’impression 3D. À chaque jet, le matériau de base est solidifié par le biais d’un rayon ultra-violet. L’avantage avec cette façon de faire est que le résultat est tout de suite impeccable. Plus besoin de travaux de post-traitement comme le rinçage, ponçage, etc. Les avantages du procédé polyjet sont nombreux. Muni de plusieurs têtes d’impression, le matériel peut stocker divers genres de matériaux. Ainsi, la réalisation d’une pièce à matériaux multiple et de couleurs très variées est possible.

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